Malgré les superstitions autour du fait qu’offrir un couteau de poche porte malheur. Il constitue un cadeau envisageable à offrir aux personnes proches à Noël. Une centaine de possibilités sont disponibles lors de l’achat. Idéalement, il faudrait sélectionner le bon accessoire en tenant compte de nombreux critères.
Quels sont les critères de choix ?
Le couteau de poche est un accessoire incontournable dans la vie de tous les jours. Il est destiné en principe pour les bricoleurs en recherche constante d’aventure. Il servira par exemple à décapsuler une canette de bière ou pour éplucher une pomme. Pour la sélection d’un bon couteau, il faut donc prendre en considération sa polyvalence et son niveau d’esthétisme.
Un autre critère devra être considéré par l’acheteur. Il s’agit de la qualité de sa coupe, car dans certains cas il arrive que l’émoutures manque d’affutage. Il est donc utile de vérifier sa composition. Vous pouvez d’ailleurs effectuer quelques tests quand l’action est autorisée auprès des boutiques.
Pour la taille, il est judicieux d’opter pour les petits modèles sinon l’outil sera ardu à mettre dans une poche. Son épaisseur est d’autant un élément qui risque de l’alourdir davantage. En ce qui concerne les matériaux de confections, vous trouverez le couteau de poche en bois ou celle avec une manche en aluminium, viroles ou en corne de taureau. La lame quant à elle est conçue avec de l’acier inoxydable, l’acier de damas ou ceux à carbone.
Comment sélectionner le nombre de lames ?
Au moment de l’achat, il est recommandé de savoir en amont l’usage à prévoir. Il existe en fait les canifs uni lame et multi-lame. Ce dernier sera responsable de plusieurs fonctions telles que les couteaux suisses. Ils sont accompagnés de 7 voire 20 outils en même temps. Il est donc adapté pour les bricoleurs et les professionnels. Vous y verrez un tire-bouchon, une lime, un ciseau ainsi qu’une pince.
De son côté, l’uni-lame est plus adéquate pour des professions spécifiques. Exemple, l’agriculture ou la pêche. Il est composé d’une petite et d’une grande lame. Il peut également servir dans les restaurants au cas où le service de table a omis le couteau. Pour information, certains restaurants comme à Aubrac ne mettent pas toujours le coutelas pour couper les steaks. Ceci dit, il ne s’agit pas d’une coutume, mais les couteaux dits Laguiole proviennent de ce haut plateau volcanique. Les serveurs partent alors du principe que vous en possédez un.
Les systèmes d’ouverture et de sécurité
Un couteau de poche est pliable. L’ouverture de la lame est assurée par le concours d’un ressort. Le modèle le plus répandu est le système dit nail nick. Il se déballera après que l’ongle de la personne ait tiré sur une entaille apposée. Ceci dit, cette tâche est contraignante pour l’utilisateur vu qu’il devrait employer ses deux mains. Vous découvrirez également le couteau avec un ergot placé sur un côté. Sa lamelle est pratique à déployer puisqu’un simple mouvement du pouce sera suffisant. Le thumb slot présente quant à lui un trou qu’il faut retrousser après son usage.
La sécurité est aussi un élément incontournable qui devrait attirer l’attention de l’acheteur. Les couteaux de poche sont formés d’un mécanisme de verrouillage intégré dans la manche. Ainsi, ils éviteront une éventuelle blessure. La lame bute par exemple lorsqu’elle est ouverte sur un dispositif sécuritaire appelé le liner lock. Une tige en acier est l’instigateur de la prouesse. Il est donc recommandé de demander aux vendeurs la technique utilisée.
En passant, un couteau ne s’offre pas, mais s’achète. L’application de l’adage est même devenue une tradition qui a perpétué de génération. Cela est encore observable dans divers départements. Celui qui reçoit doit donc payer avec une monnaie symbolique pour fuir un désastre à Noël.
